Fatalisme : M.A.K My Life Ou Presque Xiii
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Octobre 2013
Cétait le jour de mon anniversaire. Nous avons fêté cela en famille. Cadeaux, gâteaux, petits mots damour des s, chant danniversaire. Bref famille modèle, couple modèle.
Nous étions au lit. Margot était excitée et jespérais plus que dhabitude.
- Suce-le. Comme tu fais avec eux, vas-y suce Donald avant de me le mettre.
Elle tenait le cylindre par un bout et avait posé lautre bout sur mes lèvres. Elle lui avait donné ce surnom ridicule. Et quand elle me demandait dans lintimité de notre chambre
- Prends Donald mon Chéri,
Je savais quon allait faire participer ce cylindre devenu indispensable à nos jeux ou plutôt à ses jeux sexuels. Et en ce soir danniversaire, cest elle qui lavait sorti de sa boite.
- Vas-y chéri pour moi. Suce. Et après tu me le mets ou tu veux. Taille lui une bonne pipe. Montre-moi comment tu fais. IL est bien moins gros que les engins des garçons.
Jai obéis et sucé lengin. Comme je suçais Kemb ou Mathieu. Elle le faisait coulissait lentement dans ma bouche, le tournait, caressait mon visage, laissant des trainées humides. Elle le poussait au maximum me donnant des renvois. De la bave coulait sur mon menton. Elle me regardait droit dans les yeux. Se délectant de ma passivité ou de son pouvoir sur moi. Son regard me troublait infiniment. Me troublait et menchaînait à elle. Je crois que cest a ce moment là que jvais compris que jaurais pu être son esclave même sans Kemb.
- Oh tu mexcites Chéri. Je mouille comme une folle à te regarder sucer Donald. Viens ; viens sur moi me lécher.
Jai toujours adoré lécher ma femme. La douceur de sa peau, son odeur, le goût de son intimité, les relents musqués de son excitation. La fragilité de ses replis cachés. Tout me plaisait. Et même quand sa chatte a été inondée par le sperme de Kemb, jai accepté de la nettoyer. Au début avec gène et humiliation et très vite avec une fougue retrouvée.
Nous étions en soixante-neuf, moi sur elle. Jai bien sûr eu le coup au cur en regardant les initiales de lamant sous le friselis entretenu des poils légèrement bouclés. Je narrivais pas à mhabi à la chose.
Ma femme marquée aux initiales de son amant !
Margot me branlait doucement ou jouait avec mes couilles. Je me formalisais moins de létat de mon sexe. Je ne voyais pas ce que faisait Margot. Je la lapais consciencieusement avec envie.
Puis tous cest enchaîné. Elle ma demandé décarter mes jambes pour descendre plus vers son visage.
Puis elle a pris mon sexe en bouche !
Cela nétait plus arrivé depuis une éternité. Puisquelle appliquait la règle édictée par son amant de manière stricte. Plus de pénétration avec mon sexe, uniquement avec ma langue. Et pas ma langue dans sa bouche.
Jai failli jouir immédiatement.
- Calme toi mon ange, on a toute la nuit. Et jai encore des cadeaux danniversaire pour toi.
Je retrouvais avec bonheur MA Margot. Espiègle et coquine. Et terriblement troublante. Que naurais-je donné pour enfin bander.
Elle me léchait les couilles et me suçait lentement, me maintenant dans un état dexcitation pas possible. Ma bitte molle vibrait et je tremblais dexcitation.
Puis jai sentis quon étalait du gel sur mon anus. Jai voulu bouger.
- Reste Didou. Cest bon tu vas bien jouir mon Ange. Tu vas voir. Laisse-moi faire
Et laisse-toi faire mon cur.
Un truc froid caressait mon illet, Margot jouait avec ma queue et lexcitation revenait. Je la léchais comme un fou et elle me rendait la pareille avec en plus cet objet contre mon anus.
Puis elle a commencé à le pousser. Je nai pas eu le temps de réagir et dun coup il est entré en moi ! Comme une légère brulure et une lourdeur à lanus.
- Non Margot
. Doucement
Doucement
- Tu vas jouir encore plus fort mon ange. Décontracte-toi. Laisse-moi faire. Jai tellement envie de te faire jouir comme jai joui moi avec sa queue.
Elle mouillait beaucoup. Je la buvais littéralement. Elle serrait ses cuisses pour me maintenir visage plaqué contre sa chatte.
- Cest pas plus gros que mes deux doigts Chéri
Tu as lhabitude maintenant. Laisse-moi faire Didou. Tu vas vite aimer.
Elle la lentement poussé au fond de mes reins. Puis a commencé à le faire coulisser de plus en plus loin, de plus en plus vite. Jai crié dans un mélange de douleur et de jouissance. Elle aussi a feulé sans lâcher ma bitte.
Nous avons jouis ensemble. Moi dans sa bouche. Elle a tout avalé. Je me sentais groggy. Jvais rarement joui avec autant de puissance.
Elle ma rapidement libéré lanus. Je me suis retourné pour maffaler sur le lit à côté delle.
- On dirait que tu as aimé Didou.
- Euh..
- Moi en tous cas, jai adoré ce quon a fait. Tu es mon enculé adoré Didou. Bon anniversaire Chéri.
- Pourquoi tas fait ça Margot. Taurais pu me demander.
- Te demander quoi Chéri ? Si tu voulais que je te suce. Si tu voulais me faire jouir. Ca fait une éternité quon na pas été aussi proches.
- Mais ce truc dans le cul.
- Tu as aimé non ! Vu comme tas jouis. Quand jai vu ton petit cul tout mignon devant moi et cet engin dans ma main, je me suis dit quon pouvait essayer des nouveautés à la place de mes doigts. Jai eu envie de te voir gigoter avec ce truc entre les fesses.
- Cest bizarre de faire ce genre de truc à son mari. Je sais pas trop.
- Tu sais moi aussi je prends dans le derrière, et crois-moi celles de Kemb ou de Mathieu cest autre chose.
Jai abandonné la discussion. Javais limpression davoir encore lengin dans le cul. Elle ma donné un léger bisou sur les lèvres
- Cest un secret entre nous mon Chéri. Je suis contente de tavoir fait jouir autant comme cela. Kemb risque de ne pas être content sil sait que je tai sucé, tu connais les règles.
Je les connaissais oui. Jai eu beaucoup de mal à mendormir. Elle pas du tout.
Mais je navais pas saisi et assimilé tous les sens de cette phrase.
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Novembre 2013
Vacances de la Toussaint.
Les s sont chez les grands-parents pendant dix jours. Kemb est avec nous. On sort pas mal les trois. Règle classique. Dans notre quartier, je suis au bras de ma femme. Ailleurs, elle est à son bras. Sans culotte. Accessible aux doigts de son amant et bien sûr interdite aux miens.
Il nest pas rare que Kemb ou Mathieu, quand il sort avec nous, passent leurs mains sous la robe devant moi, quils la doigtent ou la caressent dans le salon en pleine journée. Quils lui relèvent la jupe à la taille, dévoilant son sexe ou ses fesses devant tous.
Margot se laisse faire, yeux clos, lèvres pincées, narines frémissantes. Savourant les caresses, à la limite de la jouissance.
La nuit ils dorment ensemble. Des fois ils mappellent pour que je suce ou je lèche. Je le fais sans discuter.
Mathieu est là ce soir, ils sont les trois dans la chambre. Margot mappelle. A son intonation, je devine quelle est très excitée. Quand jentre dans la chambre, jai du mal à comprendre tout de suite ce que je vois. Mathieu est couché sur le dos, ses grandes jambes poilues écartées. Margot est assise sur lui, empalée sur la bitte et couchée sur le torse de Mathieu qui lembrasse à pleine bouche et lui pétrit les seins. Derrière Margot Kemb à genoux entre les jambes de son ami. Il tient son engin par la racine devant le cul de ma femme.
- Regarde le cocu. Regarde bien comment elle va monter au ciel ta femme.
Il lui place son mandrin entre les fesses et commence à la sodomiser.
Ma femme gémit :
- Doucement. Doucement. Ouiiiii. Oui.. Oh oui. Doucement Kemb sil te plaît. Ohhhhh. Cest bon. Ohhhhh Didou ! Cest bon.
- Tu vas tout prendre ma Belle. Nos deux zobs en même temps devant ton cocu. Cest bon là. Regarde la le cocu. On lenfile par les deux trous.
Ils sont calés en elle immobiles.
Puis ils commencent à bouger. Mathieu sextasie :
- Putain ! Cest super, je sens ta queue mon pote. Cest vrai quelle est fine cette sacrée paroi. Cest des vrais travaux pratiques.
- Et pas sur un cadavre cette fois ?
Ils accélèrent et Margot crie. Mélange de bonheur et de douleur.
- Eh le cocu ! Regarde ce quelle se prend ta femelle !
- Les deux trous bien remplis. On va bien la dilater. Approche, approche, mets-toi à genoux à coté, tu verras mieux.
Jai obéis. Cétait complétement fou de voir le corps de ma femme tremblait au rythme des coups de reins simultanés de ses amants. On entendait les chairs claquer dans des bruits humides. Le lit tanguait sous les coups de boutoirs synchronisée, de plus en plus puissants.
Mathieu serrait le torse de ma femme contre le sien pour limmobiliser. Margot était en sandwich entre les deux torses puissants luisants de sueur. Le lit bougeait en cadence. Ils ont encore accéléré, et ma femme sest mise à hurler dans une jouissance absolue. Ses deux amants lont accompagné.
Puis la scène sest figée. Juste des respirations lourdes. Des corps lascifs qui brillent de sueurs sous le faible éclairage de la lampe de chevet. Je regardais Margot écrasée entre les deux corps massifs.
Le trio sest enfin disloqué. Ma femme avait du mal à bouger.
- Vous mavez tuée les garçons. Viens Didou. Viens mon Ange.
Cuisses grandes ouvertes, chatte coulante et raie luisante, elle attendait, langoureuse que je fasse mon travail. Je savais ce que cela voulait dire et jai obéis pour boire aux deux sources les élixirs de ses amants. Pourtant elle venait de jouir très fort. Elle ne voulait pas jouir à nouveau non. Cest juste devenu une habitude que je la nettoie après leurs passage. Rien de plus. Et cétait pire encore pour moi dêtre traité par ma femme comme son animal de compagnie devant ses deux amants.
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Le Trente Novembre cest la Saint André, nous sommes seuls dans notre chambre. Les s dorment. Margot est nue. Moi aussi. Donald est devenu un compagnon fréquent. Je le supporte assez bien. Margot ne me lèche plus. Mais si je veux un câlin de sa part, je dois accepter que Donald se loge dans mon fondement.
Kemb a décidé de changer mon traitement. Je me sens plus en forme et jai comme limpression que ma libido revient vite. Mais je ne bande pas. Jai envie mais pas possible de passer à lacte avec ma femme. Et cest le plus dur en fait.
Margot me tend un paquet.
- Bonne fête Chéri.
- Cest quoi ?....
- Ouvre Chéri.
Jétais perplexe devant lobjet. Une espèce de gros suppositoire allongé soudé sur une base ronde. Denviron une quinzaine de centimètre de long et au plus large, dun diamètre denviron cinq centimètres pour se rétrécir à la base à environ trois centimètre. Comme un uf que lon aurait étiré au maximum verticalement, soudé sur une rondelle.
Margot avait un sourire gourmand ;
- Je te présente Titi. Cest un plugg. Pour toi mon Chéri.
Je ne comprenais rien. Ou plutôt, javais peur de comprendre.
- Cest quoi ce truc Margot, ou tas eu ça ?
- - Cest un plugg. Cest pour ton joli popotin mon Ange. Quand on le met, il tient tout seul dans le derrière. Cest pour pimenter nos jeux. Quand tu las dans le derrière, il reste fiché en toi, en plus tu le sens bouger à cause du liquide à lintérieur. Jadore quand tu es mon petit mari sodomisé. On va lessayer. Jai tellement envie de te voir avec. Ça se met comme un gros suppositoire.
Elle avait déjà le tube de gel intime dans la main. Elle a pris lobjet pour y faire couler dessus le lubrifiant.
- Mets-toi su le ventre Chéri. Sil te plaît. Pour moi.
- Il nen est pas question Margot. Je veux pas ce genre de truc dans le cul.
- Je lai essayé, cest rien Didou. Juste un moyen de sexciter ensemble mon Chéri. Viens ne fais pas ta mauvaise tête. Et tu étais ok pour Donald non ? Laisse-moi te le mettre Chéri. Si tu veux, je le porterais après toi.
- Non Margot ! Tas quà te le foutre toi dans le cul ! Après tout tas lhabitude de te faire enculer comme la première pute venue.. !
Je suis parti dans ma chambre, la plantant là avec son engin de merde.
Jétais furieux et triste.
Javais horreur de me fâcher avec elle. Jétais toujours mal après, et malheureux. Jespérais que cette lubie allait passer. Jai attendu.
Mais elle ne venait pas. Jétais seul à me ronger les sangs.
La porte de ma chambre sest ouverte. Elle était sur le seuil, habillée, avec son manteau sur les épaules et son sac à mains.
- Bonne nuit Didou, je reviens demain pour moccuper des gosses. Je vais chez Kemb. Priori on ne se comprend plus.
- Attends, attends Margot.
Elle est partie sans rien entendre.
Je nai pas fermé lil de la nuit.
Le lendemain, elle sest occupée des s comme dhabitude et les a emmenés à lécole. A son retour jai voulu discuter.
- Désolé Didou mais je travaille, bonne journée.
Le soir après le coucher des s. Elle a pris son manteau.
- Margot sil te plaît attends, attends... On peut parler. Ne me laisse pas.
- Bonne nuit Didou. A demain.
Je me suis retrouvé comme un fou dans la maison. Ne sachant plus que faire. Il me semblait impossible de rester sans elle. Je navais même pas le numéro de Kemb. Je ne pouvais pas la suivre à cause des s .
Le lendemain jattendais son retour, prêt à toutes les concessions. Jai préparé un super petit-déjeuner pour nous deux. Jai attendu.
On était vendredi. Elle ma téléphoné.
- Je ne rentre pas André, je vais direct au travail. Tu emmènes les s à lécole sil te plaît. Je les prendrais ce soir et on ira les trois chez tes parents passé le week-end. Ta mère est contente de me voir. A lundi.
- Pourquoi tu fais ça Margot ?...
Elle avait raccroché avant la fin de ma phrase.
Jai appelé samedi matin. Cest ma mère qui a décroché. Elle devait attendre mon coup de fil.
- Bonjour Maman, je peux parler à Margot ?
- Bonjour André, je vais te la passer, mais permets moi de te dire que tu as beaucoup de chance de lavoir.
- Ce nest pas le moment maman passe la moi sil te plaît.
- Tu vas la perdre et tu seras encore plus malheureux mon fils. Je te la passe.
- Allo. André ?
- Margot je ten prie rentre. Je ten supplie Margot.
- Pourquoi ?...
Jétais sidéré par la question.
- Pourquoi ? Mais tu es ma femme, on est une famille. Pour tout cela Margot. Tu me manques. Tu me manques à mourir Margot.
- A mourir ? Et nous laisser seuls les s et moi ?...
- Tu veux quoi Margot ?
- On en discutera dimanche soir, bon week-end.
- Attends, att
- Au fait, jai dit à ta mère pour Kemb. Avec beaucoup de douceur bien sûr. Mais elle comprend quune femme mariée peut avoir besoin dun minimum de virilité de la part de son conjoint.
- Quoi ! Tu as fait quoi ?...
- Elle veut juste quon préserve les s. Je lai juré pour nous deux. Bonne journée.
Elle a raccroché. Je me suis écroulé. Cela a duré longtemps.
Je pensais à rien. Juste à elle. Juste être à ses côtés. La sentir. Vivre avec elle. Laccepter comme elle était. Elle avait gagné et je ne lui en voulais pas. Je voulais juste quelle revienne. Jétais prêt à tous les sacrifices pour quelle revienne. Et je nétais vraiment pas sûr de ce quelle voulait elle.
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